27 octobre 2012

RAPPORT : HRW, Death of a Dictator: Bloody Vengeance in Sirte

Catherine MAIA

A Report of HumanRights Watch published on October 17, 2012 details the final hours of Muammar Gaddafi’s life and the circumstances under which he was killed. This 58-page report presents evidence that Misrata-based militias captured and disarmed members of the Gaddafi convoy and, after bringing them under their total control, subjected them to brutal beatings. They then executed at least 66 captured members of the convoy at the nearby Mahari Hotel. The evidence indicates that opposition militias took Gaddafi’s wounded son Mutassim from Sirte to Misrata and killed him there.

Under the laws of war, the killing of captured combatants is a war crime, and Libyan civilian and military authorities have an obligation to investigate war crimes and other violations of international humanitarian law.



http://www.hrw.org/sites/default/files/imagecache/scale-200x/media/images/report-covers/libya1012.jpg   


SUMMARY 

Recommendations
I. Background
II. The Flight from Tripoli and Final Days in Sirte
III. The Capture of Muammar Gaddafi and His Inner Circle
IV. The Capture and Death of Muammar Gaddafi
V. Summary Executions at the Site of Muammar Gaddafi’s Capture
VI. The Capture and Execution of Mutassim Gaddafi
VII. Executions of Detained Convoy Survivors at the Mahari Hotel
VIII. Legal Standards and The Failure of Libya’s Interim Authorities to Investigate
IX. Response of the Transitional Libyan Authorities
Acknowledgements
Appendix A. Human Rights Watch Letter to the Transitional Libyan Authorities, June 20, 2012
Appendix B. Letter from the Transitional Libyan Authorities, July 9, 2012


Human Rights Watch,  Death of a Dictator: Bloody Vengeance in Sirte, London, 2012 (58 pp.)
 

1 commentaire :

  1. D'abord, ce qui est affligeant c'est que les auteurs de ce rapport ne se sont jamais manifestés lorsque l'ex dictateur a saigné son peuple avec son clan durant 42 ans. Curieusement les organisations dite de défense des DH sont complaisantes avec les dictateurs aussi avec les assassins de masse de civils (cas de ceux qui ont reconnu être les commanditaires des attentats du 11 sept 2001) et même font tout pour les blanchir, dans d'autres cas de conflits non sanglants, ces organisations ont fait preuve par aveuglement idéologique de l'absence d’objectivité. Dans le cas présent on aurait bien aimé d’abord avoir un rapport crédible sur les crimes de l’ex dictateur et son clan durant la période de son pouvoir puis sur la période récente et par la suite sur les pratiques prouvées des milices. Certes les rebelles ont commis des erreurs et même des exactions surtout face et après un régime sanguinaire mais rien à voir avec les crimes du régime déchu du colonel que HRW ne mentionne même pas préférant cibler uniquement les opposants à l'ex dictateur. Les assertions de ce rapport s'appuient selon ses auteurs sur des enquêtes, le constat de cadavres chose normale : un conflit armé, de vie ou de mort pour les protagonistes, n'étale pas des naissances mais des cadavres, des témoins oculaires dont la crédibilité peut être mise en doute par d'autres pour arriver à l'incertitude "... on ne sait toujours pas s’il(Ghadafi)est décédé des suites de ces violences, des blessures subies pendant l’assaut ou d’une balle tirée après coup". De nos jours, par idéalisme maladif, certains donneurs de leçons oublient l'histoire des conflits, des guerres civiles, des révolutions et des guerres de libération des pays colonisés... Leur histoire était marquée par des morts des blessés... des excès en ne commençant que seulement par la révolution française de 1789 et sa guillotine et passant par la guerre de cession des USA pour s'arrêter au conflit syrien actuel.

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