Par cet ouvrage, ces personnes ont souhaité faire prendre conscience de l'importance d'une meilleure coordination entre les institutions internationales et partant, d'une plus grande intégration des considérations non commerciales dans les négociations et règles de l'OMC. Il s'adresse particulièrement aux membres de la société civile ainsi qu'aux multiples intervenants en matière agricole œuvrant au sein de ministères, d'ONG, de forums internationaux compétents en matière de droits humains, de droit à un travail décent et de développement durable.
Le volume se subdivise en trois parties. La première définit les caractéristiques des produits agricoles et analyse leur prise en compte dans les multiples traités et engagements internationaux non commerciaux et commerciaux. La deuxième partie évalue à proprement parler le niveau de cohérence au sein de l'OMC, et entre le droit de l'OMC relatif au commerce agricole et d'autres règles de droit international. Quant à la troisième partie, elle explore les dispositions constitutionnelles et légales ainsi que les mesures judiciaires relevant de l'ordre national.

PARTIE I – Spécificité agricole et cohérence du droit international
PARTIE II – Examen de la cohérence du droit international
PARTIE III – Examen de la cohérence en vertu du droit interne


Réflexion juridique : Pour une meilleure cohérence des normes internationales

Réflexion juridique : pour une meilleure cohérence des normes internationales. Reconnaître la spécificité agricole et alimentaire pour le respect des droits humains, Bruxelles, Bruylant, 2010 (154 pp.)
Ont participé à cet ouvrage collectif : Johanne Brodeur, Bernard Colas, Catherine Del Cont, Seydou Doumbia, Michel Jacquot, Geneviève Parent, Guy Régimbald, Dominic Roux, Marisa Victor, David Wilson.