Catherine MAIA
Le 21 janvier, 55 États ont passé en
revue, durant trois heures, la situation des droits humains en France
dans le cadre de la procédure onusienne de "l’examen périodique
universel" (
EPU). C'était la deuxième fois que la France se soumettait à cet examen.
A cette occasion, l’ACAT-France et la FIACAT notamment étaient présentes afin de
suivre le dialogue interactif et se sont félicité que plusieurs de leurs
recommandations aient été suivies.
Dans un
rapport préalable
soumis aux Nations Unies, ces deux associations s’alarmaient des
conditions de détention, du sort réservé aux demandeurs d’asile et de
l’impunité en France des auteurs de crimes graves des droits de l’homme
commis à l’étranger.